Souvenirs de l’année 2014
2014 en résuméAlain Fraval
Du 29 mai au 15 juin – peintures d’Alain Fraval
Vernissage le samedi 7 juin à 18 h avec lecture de JÖ/elle : textes de Pierre Donadieu.
» Derniers carrés »
En l’absence du peintre pour raison médicale, tous ces fans se sont réunis autour de l’expo pour lui envoyer des ondes positives et acquérir ses œuvres.
HERVEY
Juin
Bien que le vernissage se soit déroulé en petit comité, HERVEY a transmis son savoir et ses idées en explicitant les images exposées et répondant à toutes les questions posées.
Du 17 juin au 29 juin – photomontages d’Hervey
« Déclinaisons », traval éditorial – livre et ses 36 gravures.
A partir d’une image récurrente vue de la fenêtre de mon atelier (un bâtiment du XIIème siècle) que je décline (principe de la déclinaison grammaticale) un certain nombre de fois. Support et moyen de diffusion : Livre et gravures numériques. Au delà d’un simple jeu plastique avec ses contraintes : choix de 4 déclinaisons, édition de 6 cartes par an et une option illimitée dans la durée (je n’ai pas fixé un terme à cet exercice) c’est le désir de voir et de comprendre, d’analyser et de formater certains événements et questions de notre actualité à partir de … » sa fenêtre « .
Vu d’ici donc, le monde en transparence derrière cette ruine élevée au rang d’icône.
Prétexte pour parler d’autres choses, de tout autre chose si possible. »
Clive Manuel
Juillet
Vernissage le 19 juillet à partir de 18 h avec surprise musicale en présence du groupe « Les sales bêtes » (mise en scène par Barbara Boichot) et lecture de Jö/ELLE
Les curieux se sont tant pressés pour ce vernissage (plus de 125 personnes)qu’il a été impossible pour tous d’entrer en même temps dans le lieu d’expo. Certains ont écouté la lecture de Jö/ELLE (choisie par Clive: Le « dernier homme » de Friedrich Nietzsche (prologue, §5) »Ainsi parlait Zarathoustra ») et la discussion qui s’en est suivie ainsi que le spectacle des « Sales bêtes » depuis la boutique ou même derrière les portes de l’expo ou du Musée des Mondes Imaginaires.
Sophie Bernert
Du 1er au 31 août – peintures acryliques, pastels sur papier et sculptures de papier mâché de Sophie Bernert
Vernissage le 9 août, avec surprise musicale et lecture de Jö/ELLE
» Des nues, des arbres et le vent »
Les spectateurs étaient de nouveau au rendez-vous pour voir et acquérir les œuvres de cette expo vivifiante. La lecture de Jö/ELLE (choisie par l’artiste) du prologue de « Gaspard des Montages » d’Henri Pourrat accompagnée par Sylvain au violoncelle a été très appréciée. Cette grande première sera sans aucun doute suivie d’autres à la demande de tous. Cette lecture a donné lieu à un jeu de questions/réponses entre les spectateurs et l’artiste qui nous a traduit en mots les images peintes de nues, d’arbres et de vent venues de son amour pour son Auvergne natale.
COMME DEUX GOUTTES D’EAU
Mardi 19 août à 19 h – Spectacle danse/théâtre « Comme deux gouttes d’eau »
Spectacle de Déviation « COMME DEUX GOUTTES D’EAU »
Compagnie Déviation, avec Maggy Dupa, Franck Kayap, musique François Creamer (clarinettes), mise en scène Barbara Boichot
Un duo en apparence différent à l’extrême.
Noire et blanche, garçon et fille, langages et cultures différents. Parfois en désaccord, souvent unis, ces deux personnages vont vivre une histoire intense devant des spectateurs qui, plongés dans ce monde ne verra plus deux êtres différents mais une similitude de réactions et d’émotions. Deux êtres tout simplement, qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau !
Cette petite forme, revisitée pour accompagner la visite du Palais Ducal à Nevers, nous a été offerte en avant première. Les spectateurs ont été présents encore une fois pour cette dernière manifestation de la saison et ont tous exprimé leur immense plaisir aux comédiens et musicien François Creamer applaudissant la mise en scène de Barbara Boichot que nous remercions vivement de nous offrir tous ces trésors.
Babyfaces
Juillet
De Marie Desplechin
avec Maggy Dupa, Franck Kayap & Shin Mignon
Mise en scène : Barbara Boichot
Note d’intention : La mélodie simple et harmonieuse de l’écriture de Marie Desplechin amène naturellement vers la danse.
« Le quotidien âpre, rugueux des personnages de l’histoire m’a poussé vers une danse urbaine qui trouve sa source dans des gestes de tous les jours. Je me suis inspirée de l’observation du mal-être de certains jeunes désœuvrés, aux racines éclatées.
Des moments chorégraphiques amples et drôles répondent à l’humour toujours présent dans l’écriture.
Le choix de trois interprètes totalement opposés à la description physique des personnages de l’histoire, permet au spectateur d’entendre ce texte aussi ouvertement que possible. »
Entrée libre.